L’utilisation de l’argent liquide en France est remise en question par certains qui se demandent si cette pratique sera abandonnée à l’avenir. Bien que la carte bancaire soit pratique, les Français aiment utiliser de l’argent liquide pour des raisons de sécurité et pour éviter les problèmes de confidentialité des données liées aux paiements numériques. Ils aiment également leurs pièces de monnaie, et une transition totale vers les paiements numériques ne semble pas probable à court terme.
Bien que la Banque centrale européenne envisage une monnaie numérique sécurisée, la protection des données des utilisateurs reste un défi à relever. Les instances comme la CNIL sont responsables de garantir cette protection.
La crise sanitaire a également modifié les habitudes de paiement des Français, qui ont commencé à effectuer la moitié de leurs achats sans argent liquide depuis près de 4 ans. Cette tendance est alimentée par l’utilisation du paiement sans contact, qui est rapide et sécurisé, ne nécessitant pas de manipulation d’argent physiquement.
Le témoignage d’un client nommé Rémi a mis en lumière cette nouvelle habitude, expliquant qu’il préférait payer par carte bancaire car il ne savait jamais à l’avance combien il allait dépenser et qu’il n’avait jamais d’argent liquide sur lui, même pour payer une simple baguette en boulangerie.
Dans de nombreux commerces, les paiements par carte bancaire sont maintenant acceptés avec un montant minimum de plus en plus faible, pouvant aller jusqu’à 1 euro. Cette tendance est de plus en plus populaire auprès des clients.
Les paiements par carte bancaire sont également de plus en plus courants dans le secteur des taxis, où de nombreux chauffeurs permettent maintenant les paiements électroniques à bord de leur voiture ou via des applications de réservation.
En somme, bien que les paiements numériques soient de plus en plus courants et que la crise sanitaire les ait encouragés, l’utilisation de l’argent liquide reste importante pour les Français en termes de sécurité et de confidentialité des données. C’est pourquoi une transition totale vers les paiements numériques ne semble pas envisageable à court terme.