C’est l’un des nombreux effets secondaires de la vaccination anti-Covid : les problèmes urinaires plus ou moins graves sont très nombreux. Explications.
Nous avons souvent évoqué ici les conséquences délétères des vaccins contre le SRAS-CoV-2, le virus à l’origine de la pandémie de Covid-19. Un article récent intitulé « Des vaccins de moins en moins efficaces et de plus en plus nocifs» nous a valu les foudres des géants du numérique qui contrôlent l’information à l’échelle planétaire. Ils décident unilatéralement ce qui est la vérité journalistique (Pravda, en russe) et ce qui est une fake news. Et malheur à qui ose proposer une autre approche de l’information scientifique : ils sont bannis de la communauté, traités de conspirationnistes, de conspirationnistes… Bref, la liberté d’expression revue et corrigée par les disciples de Joseph Goebbels, sans doute. Quant aux réseaux sociaux, associés aux grands médias, ils se sont associés pour défendre LA vérité édictée par les puissants lobbies du secteur de la santé avec de faux fact-checking destinés à discréditer les confrères séditieux.
Même les meilleurs scientifiques du pays ont été interdits de témoigner publiquement devant le comité parlementaire du Sénat comme nous l’avons écrit. Ils mettaient en garde contre l’explosion des effets secondaires graves des vaccins à ARNm Covid-19.
Vessie et Prostate

En effet, force est de constater que ces effets délétères sont nombreux et divers. Ils touchent tous les organes : le cœur (myocardite, péricardite), le foie (hépatite), la peau (réactions cutanées), etc.
Cependant, les problèmes du bas appareil urinaire chez l’homme sont de plus en plus nombreux. C’est-à-dire des problèmes de vessie et de prostate.
Selon Jean-Marc Sabatier*, qui s’exprime à titre personnel, “il s’agit d’une inflammation de la vessie ou de la prostate induite par la suractivation, via la protéine Spike vaccinale, du récepteur pro-inflammatoire AT1R du système rénine-angiotensine (RAS). Le récepteur ACE2 (cible de la protéine Spike du SRAS-CoV-2) et le récepteur AT1R (responsable des effets délétères) -tous deux appartenant au RAS- se retrouvent dans les cellules de ces organes.
La vessie est un organe du système urinaire dont la fonction est de recevoir l’urine produite par les reins avant qu’elle ne soit évacuée lors de la miction. La prostate est une glande du système reproducteur masculin. Il entoure l’urètre, qui est le canal par lequel s’écoule l’urine. La fonction principale de la prostate est de produire une partie du liquide séminal. La prostate contrôle la continence urinaire.
Jean-Marc Sabatier a décrit les troubles des organes sexuels des hommes et des femmes dans un article que nous republions ci-dessous.
* Jean-Marc Sabatier est directeur de recherche au CNRS et titulaire d’un doctorat en Biologie Cellulaire et Microbiologie, affilié à l’Institut de Neuro Physiopathologie (INP) de l’Université d’Aix-Marseille.